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Pour moi, celui-là est le meilleur des trois albums. Ma chanson préférée est "Si seulement je pouvais lui manquer", à celle-là suivent "Yalla", "Face à la mer", "Fais comme tu veux", "Un jour parfait", "La bienvenue"... Non, en fait je les aime toutes!!!!!!
3ème album
1. Yalla
2. Il bat
3. Face à la mer (en duo avec Passi)
4. Si seulement je pouvais lui manquer
5. Qui parlait
10. Safe sex
11. Rare
12. La bienvenue
1. YALLA
On ne retient pas l’écume Dans le creux de sa main On sait la vie se consume Et il n’en reste rien
D’une bougie qui s’allume Tu peux encore décider du chemin De ton chemin
Crois-tu que tout se résume Au sel d’entre nos doigts Quand plus léger qu’une plume Tu peux guider tes pas
Sans tristesse ni amertume Avance et avance puisque tout s’en va Tout ‘sen va
Yalla / Yalla / Yalla / Yalla Elle m’emmène avec elle Je t’emmène avec moi Yalla
Tu trouveras le soleil Dans le cœur des enfants Sans nulle autre joie pareille Ni sentiment plus grand Un mot d’amour à l’oreille Peut en chacun réveiller un volcan Pour qui l’entend
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Yalla / Yalla / Yalla / Yalla Elle m’emmène avec elle Je t’emmène avec moi Yalla
Tu trouveras le soleil Dans le cœur des enfants
Elle m’emmène avec elle Je t’emmène avec moi Yalla
Yalla / On ne retient pas l’écume Yalla / Dans le creux de sa main Yalla / On sait la vie se consume Yalla / Et il n’en reste rien
Elle m’emmène avec elle Je t’emmène avec moi Yalla
Yalla / Tu trouveras le soleil Yalla / Dans le cœur des enfants Yalla / Sans nulle autre joie pareille Yalla / Ni sentiment plus grand
Elle m’emmène avec elle Je t’emmène avec moi Yalla
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2. IL BAT
Il en a vu Tomber des hommes au sud au nord Il en verra /De toutes les couleurs encore
Il est le même Que l’on soit d’ici ou d’ailleurs Il est le cœur de nos problèmes
Mais, tant qu’il bat Comme le sang dans nos veines S’il bat / Le combat vaut la peine
S’il s’aime / Qu’il se prive tant Qu’il bat / C’est pourtant que l’on s’aime
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S’il est si lâche / Quand tu t’attaches Mon amour / Il sera lourd Si tu me lâches
Mais, tant qu’il bat Comme le sang dans tes veines S’il bat / Le combat vaut la peine
S’il s’aime / Qu’il se brise tant Qu’il bat / C’est pourtant que je t’aime
Il bat / Comme le sang dans tes veines S’il bat / Le combat vaut la peine S’il saigne / Qu’il se cogne tant Qu’il rêve / C’est toujours que l’on s’aime
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PASSI : On choisit ni son origine, ni sa couleur de peau comme on rêve d’une vie de château quand on vit le ghetto naître l’étau autour du cou comme Cosette pour Hugo naître en treillis dans le conflit et prier le très haut. Fils du C.O.N.G.O cette haine j’ai au M.I.C.R.O j’ai l’poids des mots. Sortir d’en bas, rêver de déchirer ce tableau fait d’armes, de larmes, fait de sang et sanglots
CALO : Face à la mer / J’aurais du grandir Face contre terre / J’aurais pu mourir Je me relève Je prends mon dernier rêve
PASSI : Tous deux la même dalle Et tous deux déçus CALOGERO : Je prends mon dernier rêve
PASSI : C’est la sécheresse sur une terre où l’on ne cesse de semer tristesse dans des yeux qui n’peuvent pleurer j’ai beaucoup de rêves lointains, j’me suis tant rebellé, j’ai bu beaucoup de baratin et ça m’a trop saoulé. Dans la vie y a des tapes au fond Et des tapes à côté, des t’as pas un euro Ou la tape à l’arrachée, y a l’Etat, les Rmistes, Les t’as qu’à taffer. Si t’es en bas Faut cravacher, t’as qu’à pas lâcher.
PASSI : T’as pas connu ça, toi, l’envie d’empocher les patates, être à gauche droite face à la mer loin des galères. T’as pas connu ça, l’envie d’t’en sortir, distribuer des patates des gauches droites avec un air patibulaire.
CALO : Face à la mer / J’aurais du grandir Face contre terre / J’aurais pu mourir Je me relève Je prends mon dernier rêve
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PASSI : Tous deux la même dalle Et tous deux déçus CALOGERO : Je prends mon dernier rêve
CALO : Face à la mer / C’est toi qui résistes Face contre terre / Ton nom sur la liste De tout ton être Cité à comparaître
PASSI : C’est l’histoire de cette plume qui s’étouffe dans le goudron, cette matière grise dont le pays n’a pas fait acquisition, On se relève, on repart à fond, on vise Le Panthéon, j’en place une à ceux qui en ont, Qui rêvent consécration. La dalle, la niak Je l’ai comme mes potes l’ont. On veut toucher Le ciel étoilé sans baisser l’pantalon. Trop peu bonnes fées et trop de Cendrillon. Calo - Passi 2 0 0 4 action.
CALO : Face à la mer / J’aurais du grandir Face contre terre / J’aurais pu mourir Je me relève Je prends mon dernier rêve
PASSI : Tous deux la même dalle Et tous deux déçus CALOGERO : Je prends mon dernier rêve
PASSI : Tous deux la même dalle On vise tous les deux au-dessus CALOGERO : Je prends mon dernier rêve
PASSI : On choisit ni son origine, ni sa couleur de peau comme on rêve d’une vie de château quand on vit le ghetto naître l’étau autour du cou comme Cosette pour Hugo naître en treillis dans le conflit et prier le très haut. Fils du C.O.N.G.O cette haine j’ai au M.I.C.R.O j’ai l’poids des mots.
Face à la mer / On veut tous grandir Calo - Passi trop jeunes pour mourir.
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4. SI SEULEMENT JE POUVAIS LUI MANQUER
Il suffirait simplement Qu’il m’appelle / Qu’il m’appelle D’où vient ma vie / Certainement pas du ciel
Lui raconter mon enfance Son absence / Tous les jours Comment briser le silence / Qui l’entoure
Aussi vrai que de loin Je lui parle / J’apprends tout seul A faire mes armes Aussi vrai qu’j’arrête pas / D’y penser Si seulement / Je pouvais lui manquer
Est-ce qu’il va me faire un signe Manquer d’amour / N’est pas un crime J’ai qu’une prière à lui adresser Si seulement / Je pouvais lui manquer
Je vous dirais simplement Qu’à ça / Tout va bien A part d’un père / Je ne manque de rien
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Je vis dans un autre monde Je m’accroche tous les jours Je briserai le silence / Qui m’entoure
Aussi vrai que de loin Je lui parle / J’apprends tout seul A faire mes armes Aussi vrai qu’j’arrête pas / D’y penser Si seulement / Je pouvais lui manquer
Est-ce qu’il va me faire un signe Manquer d’un père / N’est pas un crime J’ai qu’une prière à lui adresser Si seulement / Je pouvais lui manquer
Est-ce qu’il va me faire un signe Manquer d’un père / N’est pas un crime J’ai qu’une prière à lui adresser Si seulement / Je pouvais lui manquer
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5. QUI PARLAIT
Qui parlait / De lumière des villes Comme un paradis / En bout de plage Une terre d’accueil / A son exil Alors que je marche sur des trottoirs Parsemés de sacs de couchage
Qui parlait / De longs fleuves tranquilles Alors qu’il n’y a / Que des virages Du Yang Tsé Quiang / Au bord du Nil Moi je n’ai rien vu / De tout cela Peut-être par manque de courage
Je n’entends rien / Je ne vois personne Y a-t-il quelqu’un / Que ça touche au moins
Qui parlait / De se tenir droit Alors qu’on se courbe / D’avantage Du Siam / A la vallée des Rois
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C’est toujours nos dos qui se voûtent Sous le joug d’un autre esclavage
Je n’entends rien / Je ne vois personne Y a-t-il quelqu’un / Qui regarde au moins
Qui parlait / De croire en l’amour N’a pas dû lire / Tous les ouvrages A moins qu’il soit / Aveugle et sourd Moi je n’ai rien vu / De tout cela Qui me soulage et m’encourage
Je n’entends rien / Je ne vois personne Y a-t-il quelqu’un qui écoute au moins
Je n’entends rien / Je ne vois personne Y a-t-il quelqu’un / Que ça touche au moins Au moins / Qui parlait
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C’est comme tu veux Si tu penses que tu dois t’en aller Que tu n’as plus rien à faire ici Qu’on a plus rien à partager Qu’on s’est tout dit
C’est comme tu veux Si tu crois que la vie t’attend ailleurs Qu’elle sera pour toi là-bas meilleure Qu’on a plus rien à se donner Qu’il faut changer
Alors fais comme tu veux / Comme tu le sens Fais comme tu penses que c’est le mieux Comme tu l’entends / Fais comme si
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Comme si c’était pas important Fais comme tu veux
C’est comme tu veux Si tu crois qu’il faut se séparer Et qu’on a plus rien à faire ensemble Que le passé c’est le passé Qu’il me ressemble
Alors fais comme tu veux / Comme tu le sens Fais comme tu penses que c’est le mieux Comme tu l’entends / Fais comme si Comme si c’était pas important Comme tu veux.
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Des poussières de bruit au fond de nos silences. Au milieu de la foule la peur de l’absence. Les dieux ont leurs dimanches, les amours Leur manquent / Comme tu me manques
Des foyers sans feu où glisse ma brûlure. Au milieu des croyances se fond l’imposture. Les hommes prennent leur revanche, le doute leur ressemble / Il nous rassemble.
Je n’ai que nous à vivre / Pour survivre. Plus je le sais plus je me sens le droit De revivre / A contre destin l’envers des adieux
Je n’ai que nous à vivre / A revivre Plus je le fais, plus je me sens le droit De te suivre / Plus je le sais et plus je te veux.
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Des sentiers, battus où se perd le chemin Au milieu de nulle part c’est toi qui me vient Je te prends la main comme on prend le large On s’engage.
Je n’ai que nous à vivre / Pour survivre. Plus je le sais plus je me sens le droit De revivre / A contre destin l’envers des adieux
Je n’ai que nous à vivre / A revivre Plus je le fais, plus je me sens le droit De te suivre / Plus je le sais et plus je te veux.
Je n’ai que nous à vivre / Pour survivre. Plus je le sais plus je me sens le droit De revivre / A contre destin l’envers des adieux Plus je le sais et plus je te veux Plus je le sais et plus je te veux.
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Rouler les yeux fermés / Et ne plus rien penser Du ciel en enfer / On se laissera glisser Rouler vers les vallées / C’est beau la liberté Puisqu’on peut rien en faire / Allez vas-y accélère
C’est un jour parfait / Ni bon ni mauvais Juste un jour parfait / Rien pour nous arrêter C’est un jour parfait / Ni bon ni mauvais Juste un jour parfait
Rouler les yeux fermés / Plus besoin de parler Comme tu es mon amie / Sur la terre endormie Pour se faire oublier / On doit partir léger Aussi loin qu’on l’espère / Allez vas-y accélère |
C’est un jour parfait / Ni bon ni mauvais Juste un jour parfait / Rien pour nous arrêter C’est un jour parfait / Ni bon ni mauvais Juste un jour parfait
Rien pour nous arrêter / C’est un jour parfait Ni bon ni mauvais / Juste un jour parfait Rien pour nous arrêter
C’est un jour parfait / Juste un jour parfait
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Et puisque les hommes endormis Ne font pas de mal à leurs ennemis Vienne oh que vienne la nuit
Et puisque les hommes allongés Ne lèveront ni le poing ni l’armée Vienne oh que vienne la nuit
Vienne la nuit des temps Vienne le temps des nuits Vienne enfin le camp Des hommes endormis
Vienne la nuit devant Vienne devant la nuit Vienne enfin le temps Des hommes endormis
Et puisque les hommes / dans leurs rêves Font de l’amour un soleil qui se lève Vienne oh que vienne la nuit |
Et puisque les hommes / qui sommeillent Sont tous un peu frêle / Un peu tous pareil Vienne oh que vienne la nuit
Vienne la nuit des temps Vienne le temps des nuits Vienne enfin le camp Des hommes endormis
Vienne la nuit devant Vienne devant la nuit Vienne enfin le temps Des hommes endormis
Vienne enfin le temps / des hommes endormis.
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10. SAFE SEX
Si tu me vois rougir, Commence à grandir, Dans la montée des sens Je compte sur ta présence
Mais attends les préambules Pour sortir de ta bulle, Je te préviendrai d’avance Quand viendra ta chance
Prêt pour le voyage Safe sex, Même s’il n’y a rien qui presse Prêt pour le voyage Safe sex. Juste ce qu’il faut de paresse Laisse-toi aller au plaisir Pour un aller sans revenir Prêt pour le voyage Safe sex. Même s’il n’y a rien qui presse.
Il faut tenir le coup Eviter les remous Dans la montée des sens Fais preuve de patience
Tu auras le premier rôle Si tu perds pas le contrôle, Sur la rampe de lancement Je te dirai l’instant
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Prêt pour le voyage Safe sex, Même s’il n’y a rien qui presse Prêt pour le voyage Safe sex. Juste ce qu’il faut de paresse Laisse-toi aller au plaisir Pour un aller sans revenir Prêt pour le voyage Safe sex. Même s’il n’y a rien qui presse.
Tu auras le premier rôle Si tu perds pas le contrôle
Prêt pour le voyage Prêt pour le voyage
Prêt pour le voyage Safe sex, Même s’il n’y a rien qui presse Prêt pour le voyage Safe sex. Juste ce qu’il faut de paresse Laisse-toi aller au plaisir Pour un aller sans revenir Prêt pour le voyage Safe sex. Même s’il n’y a rien qui presse.
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11. RARE
Reste encore un peu C’est si rare de se plaire Laisse-moi me défaire de toi Reste encore un peu C’est rare d’être amoureux Laisse-moi profiter de ça
On finira bien par se reconnaître Dans le moindre de nos gestes On finira bien par s’apercevoir Qu’on est fait l’un pour l’autre Et tu ne peux rien y faire
Reste encore un peu C’est si rare de se plaire Laisse-moi profiter de ça
On finira bien par s’abandonner Il suffit de laisser faire On finira bien par se l’avouer
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On est fait l’un pour l’autre Ne me dis pas le contraire
Laisse encore un peu L’odeur de tes cheveux Enroulée entre les draps Reste encore un peu C’est rare d’être amoureux Laisse moi m’occuper de toi
On finira bien par se souvenir De notre premier départ Tout finira bien, je te le promets On est fait l’un pour l’autre Et je me dis que c’est rare C’est rare, c’est rare, c’est rare…
Et je me dis que c’est rare Laisse-moi profiter de toi.
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12. LA BIENVENUE
Tu t’es invitée Ne demande jamais pardon Quelle belle arrivée J’ai trouvé le temps long Et te voilà en face de moi Ca fait des mois que j’attends ça Voir ce regard indispensable Qui me connaît Qui m’aime quand même Mon amour Bienvenue
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L’amour t’a porté Tu vas porter mon nom Je caresse un rêve Et j’y crois pour de bon Il nous en reste Et c’est tant mieux Du temps des gestes et des adieux Et ce regard indéchiffrable Qui me connaît Me veut du bien Mon amour Bienvenue.
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